Recadrer un SVG avec Inkscape.
Note à moi-même parce que j’oublie tout le temps : pour recadrer un SVG à la taille de son contenu, dans Inkscape sous macOS, on fait sa sélection puis cmd+maj+r
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Note à moi-même parce que j’oublie tout le temps : pour recadrer un SVG à la taille de son contenu, dans Inkscape sous macOS, on fait sa sélection puis cmd+maj+r
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Cabel Sasser (le co-fondateur de chez Panic), dans un article intitulé « Fantasy Meets Reality », aborde la difficulté de concevoir des choses dans leur contexte.
Le design, c’est global. Personne ne peut avoir toute la compréhension du monde. Et cela peut conduire à des angles morts. Je pense qu’il y a de bons arguments à faire valoir à ce qu’une équipe plus diversifiée de designers autonomes travaillant ensemble pourrait détecter beaucoup plus de pièges potentiels en matière de conception dans le monde réel.
Mais honnêtement, je pense qu’en grande partie, c’est juste que certains designers sont extraordinaires pour imaginer des choses, mais pas pour imaginer des choses entourées par l’univers. Ce joli truc sur lequel vous travaillez, se trouve en fait dans une fenêtre, sur votre écran, coincée sous une barre de titre, et c’est aussi épineux que possible. Et si vous n’arriviez pas à imaginer des choses dans leur contexte final ?
En ce moment, je (re-)regarde toutes les vidéos de Game Maker’s ToolKit. Et dans celle sur Arkam Knight, j’ai bien aimé cette affirmation (à 1:55).
Les jeux « bac à sable » devraient idéalement contenir des mécanismes nécessitant un bac à sable. Comme attaquer des bases comme vous le souhaitez dans Far Cry, ou les poursuites policières élaborées dans Grand Theft Auto. Sinon, vous venez juste de créer un système de menus incroyablement élaboré pour passer d’un moment de jeu à un autre.
Aujourd’hui, c’est demain la veille. Numéro neuf.
Oui, je sais, on n’est pas lundi. Et ça fait un mois que je n’ai rien posté. Mais on est le premier juin et il fait beau alors c’est reparti.
Aujourd’hui, c’est demain la veille. Numéro huit.
Aujourd’hui, c’est demain la veille. Numéro sept.
Aujourd’hui, c’est demain la veille. Numéro six.
:focus-visible
visible? Un article avec un diagramme clair et concis pour savoir quand s’applique la pseudo-classe :focus-visible
.@media (scripting:none)
(via Mastodon).line-height
(lh
et rlh
), les pseudo-classes :user-valid
et :user-invalid
, les nouvelles syntaxes de requête media (@media (400px <= width < 900px)
) et plein d’autres choses encore…Aujourd’hui, c’est demain la veille. Numéro cinq.
Aujourd’hui, c’est demain la veille. Numéro quatre.
text-wrap:balance
arrive dans Chrome Canary. Je me souviens de l’origine de cette propriété, proposée en 2013 par Adobe. Dix ans déjà.Aujourd’hui, c’est demain la veille. Numéro trois.
Aujourd’hui, c’est demain la veille. Numéro deux.
Dans l’épisode précédent : « Chaque semaine (ou presque, on verra), le dimanche (ou presque, on verra) ». Bon, disons plutôt toutes les deux semaines, le lundi. Ou presque, on verra.
:user-invalid
refait surface. J’en parlais déjà dans les champs invalides en CSS il y a dix ans.:nth-child(n of <selector>)
, supportée dans Safari depuis 2015 et puis nulle part ailleurs.Aujourd’hui, c’est demain la veille. Numéro un.
L’envie de relancer ce blog me taraude depuis un moment. Mais faute d’avoir autant de temps que dans mon jeune temps, je tente ce format un peu différent. Chaque semaine (ou presque, on verra), le dimanche (ou presque, on verra), un récapitulatif de ma veille avec une sélection de liens qui ont fait ma semaine.
line-height
sans unité, c’est trop bien. J’ai fait un petit pen pour illustrer ça… avant de découvrir cet article d’Éric Meyer d’il y a seize ans qui explique ça beaucoup mieux.La dernière campagne de publicité de la Hadopi est d’une mauvaise foi absolue.
J’ai un abonnement à Netflix, Disney+, Prime Video, Apple TV+ et Canal+ Series. Je regarde principalement ces contenus via leurs applications dédiées pour Android TV via la BBox 4K de Bouygues Telecom. (Sauf pour Apple TV+ que j’ai lancé sur un iPhone ou un Macbook). Et voici des problèmes que je rencontre en permanence :
Et j’en passe.
Ce serait tentant de vouloir lancer une contre-campagne du genre « On a tous des bonnes raisons de continuer de pirater. » Mais en réalité, ma philosophie est plutôt différente. Si je ne peux pas accéder à un film ou une série légalement dans des conditions qui me conviennent, alors je me passe de ce film ou cette série. C’est pour ça que je n’ai jamais vu un épisode de Game of Thrones ou que je n’ai vu aucun film sorti depuis 2018. Et je ne m’en sens pas plus mal.
Suivant mes rétrospectives de 2016, 2017, 2018 et 2019 voici le temps de faire le point sur l’année écoulée. En 2020, j’ai fait ça.
Cet article sur la Lunii a été l’une des mes occupations préférées de confinement avec les enfants. Et ça me vaut encore aujourd’hui d’être régulièrement contacté par des gens qui cherchent aussi à mettre leurs propres histoires sur la Lunii.
J’ai enfin pris le temps de migrer mon blog en anglais de Medium vers GitHub Pages. Ça faisait un moment que je ne me sentais plus du tout à l’aise sur Medium, et je suis bien heureux d’être parti. Et comme j’avais mon propre domaine là-bas, je n’ai heureusement pas vraiment perdu au change.
Cette année aurait dû être extraordinaire pour moi. Je devais participer à deux Smashing Conference : la première à Austin en juin, la seconde à New York City en octobre. Cette dernière aurait dû être l’occasion d’un voyage en famille à quatre pour voir de la famille là bas et faire découvrir la ville aux enfants. Évidemment, rien de tout ça n’est arrivé. Et je me pose du coup la question : est-ce que ça arrivera à nouveau ? Est-ce que ça a du sens de voyager à l’autre bout du monde pour donner des conférences qui seront de toutes façons visibles en ligne ?
Quelle fierté d’avoir enfin réussi à sortir une première vidéo cette année. Bon, c’est un peu de la triche vu le temps que j’avais passé dessus était surtout en 2019. Naïvement je me disais que je pourrais sortir une vidéo tous les 3-4 mois. Et évidemment 2020 est passé par là.
Presque un an après, j’ai quand même toujours un arrière-goût d’inachevé sur cette première vidéo… Si presque tous les retours que j’ai reçu sont très positifs, je crois que je m’attendais à faire mieux en terme de nombre de vues. J’ai très vite atteint le millier de vues, et puis après plus rien. (On en est à 1287 vues actuellement.) Je ne savais pas à quoi m’attendre, mais je me disais inconsciemment que faire 5000 vues ce sera déjà pas mal. J’en suis loin. Il y a encore du travail.
Suite à un désistement de dernière minute, j’ai publié une bafouille pour le dernier jour de 24 jours de web (que je pensais publier ici à la base). (Pour l’anecdote, je m’étais toujours dit que je pourrais écrire moi même un article si besoin pour 24 jours de web. C’est plutôt bon signe que ça ne soit arrivé que maintenant, à la huitième édition.)
Ces racines de numéros de téléphone fictives, réservées pour le cinéma, peuvent être utilisées comme exemples de saisie dans vos formulaires :
01 99 00
Article 2.5.12 Numéros pour œuvres audiovisuelles
02 61 91
03 53 01
04 65 71
05 36 49
06 39 98
Via Twitter, ce TEDx de Arnaud Hoedt et Jérôme Piron sur l’orthographe française est merveilleux. J’avais souvenir de leur passage chez Par Jupiter ! sur France Inter (pour la promo de leur spectacle et livre correspondant).
J’aime tout particulièrement ce passage (à partir de 15:20) :
Il existe encore une raison de défendre une orthographe compliquée : le sens de l’effort. Comme c’est compliqué, c’est exigeant ; et cette exigence apprend à nos enfants à se dépasser.
Les gens ont l’impression que si l’on simplifie, on va faire moins d’efforts.
Mais on ne va pas faire moins ! On va faire mieux. (Bon, c’est dur de dire à ceux qui ont souffert qu’ils ont souffert pour rien.)Tout le temps de mémorisation mécanique d’exceptions ânonnées, « Pou, hibou, caillou », tout ce temps pourrait être converti en temps de pratique, de découverte, de réflexion, de littérature ou d’histoire de la langue.
Donc, en un sens, la simplification constitue bien un nivellement par le haut.
J’ai souvent entendu de la part de graphistes peu soucieux que se plier à des contraintes d’intégration, c’était appauvrir le Web. Mais la citation ci-dessus s’applique à merveille ici. Tout le temps de reproduction mécanique d’effets photoshopés, cette petite ombre portée qui combine mode de fondu et whatmille effets, tout ce temps pourrait être converti en temps passé à améliorer l’accessibilité, la performance, l’interopérabilité ou le référencement. Donc, en un sens, la simplification du design sur le Web constitue bien un nivellement par le haut.
J’ai deux enfants de deux et quatre ans. Et il y a quelques temps, mon grand avait reçu en cadeau une Lunii, la « fabrique à histoires ». C’est un boîtier non connecté, avec un écran minimaliste et une interface facile à prendre en main pour des enfants (un bouton à tourner sur le côté pour allumer et régler le volume, un gros bouton à tourner à gauche pour faire ses choix et un gros bouton à appuyer à droite pour valider).
J’étais un peu rétiscent avant d’en avoir une parce que j’avais l’impression que le côté « fabrique » d’histoires n’était qu’un bête remplacement de nom automatisé. Mais ce sont en fait de vraies histoires à embranchement à la manière des histoires dont vous êtes le héro. Le hic, c’est que pour avoir ces histoires, il faut passer par le Luniistore (une application/boutique à installer sur son ordinateur) et on est limité au catalogue proposé.
C’est d’autant plus dommage que le monde regorge de podcasts pour enfants gratuits. Et aussi que les enfants ont une imagination débordante et que ce serait bien rigolo de les enregistrer pour qu’ensuite ils puissent s’écouter sur la Lunii.
Il y a quelques mois, j’ai donc demandé sur Twitter si quelqu’un savait comment « hacker » une Lunii pour y mettre ses propres histoires. (Mes maigres recherches n’avaient rien donné.) Et c’est ainsi qu’on m’a dirigé vers STUdio (pour « Story Teller Unleashed »), une application Java disponible sur GitHub créée par Marian Muller. STUdio permet de créer ses propres packs d’histoires et de les charger sur sa Lunii.
Lire la suite de « Mettre ses propres histoires sur la Lunii »
Voilà. Ça y est. J’ai enfin sorti une première vidéo sur Youtube. J’en parle ici depuis au moins 2016.
troisdoublev est une série de vidéos sur le Web qui parle du Web. La vision que j’ai, c’est de pouvoir montrer ça à quelqu’un qui veut travailler dans le Web (quelque soit sa branche) et de pouvoir cerner les concepts importants en quelques minutes. (J’avais en tête de faire des vidéos de cinq minutes. Bon, j’ai un peu dépassé pour la première.)
Alors on me demande déjà quand sort la prochaine. Cette vidéo m’a demandé entre 80 et 100 heures de travail. (Dont une à deux journées de formation à Adobe Premiere, et plein d’erreurs de débutants qui m’ont demandé de réenregistrer plein de passages plusieurs fois.) Pour bien faire, il faudrait que j’arrive à faire une vidéo en 15 à 20 heures. Si j’arrive à sortir une vidéo tous les deux mois, je pense que ce sera déjà super. Mais j’ai envie de continuer à faire de manière publique et transparente, donc vous pouvez suivre mes avancées sur GitHub.
Pour les allergiques à Youtube (vous avez raison), je prévois de mettre à disposition mes vidéos en téléchargement direct sur mon propre domaine (en HD et en SD).
PS : Oui, ma vidéo s’est faite strikée par le Comité International Olympique à peine uploadée. L’intégration ci-dessus ne fonctionne donc pas et il faudra aller sur Youtube pour lire la vidéo.
Suivant mes rétrospectives de 2016, 2017 et 2018, voici le temps de faire le point sur l’année écoulée. En 2019, j’ai fait ça.
Cette dernière était je crois le plus haut point de mon année. Et je suis éternellement reconnaissant envers Vitaly Friedman de m’avoir invité au sein de la famille de Smashing Magazine.
Je ne crois que je n’oublierais jamais ce qu’il m’a dit à peine descendu de scène, une fois ma conférence terminée. « Il faut que je te fasse venir aux États-Unis. » C’est donc avec une excitation immense que je serais en 2020 à Austin et New York.
Un des trucs dont je suis particulièrement satisfait aussi, c’est de m’être enregistré pendant l’une de mes répétitions (voix et écran) et d’avoir diffusé la vidéo sur Youtube au même moment que mon passage sur scène. Ça ne m’a pas demandé énormément de travail en plus (à part pour les sous-titres que j’ai fait dans un second temps), c’était amusant à faire (à part pour les sous-titres que j’ai fait dans un second temps) et c’était super d’avoir des retours de personnes non présentes. Je le referais à nouveau sans hésitation.