James Victore – Revolution doesn’t exist. It’s you.
J’aime bien James Victore. Et dans cette conférence du mois dernier, j’aime particulièrement cette réponse (à 7:07) face à un argument que j’entends ou prononce parfois trop souvent :
Je donnais une conférence il y a quelques années. Il y avait des questions/réponses à la fin. Et j’étais particulièrement déchaîné ce jour là. Je parlais des gens assumant et défendant leur créativité. Et puis un jeune a levé la main dans le fond.
— J’ai une question ! M. Victore, j’entends bien ce que vous dites. Mais j’ai un loyer à payer.
— C’est une histoire intéressante. Comment tu t’appelles ?
— Thomas…
— Thomas. Voici ta pierre tombale : « Ci-gît Thomas. Il aurait fait du super travail, mais il avait un loyer à payer. »On laisse nos situations s’imposer. Vous avez besoin d’une révolution. Thomas a besoin d’une révolution. Il n’avait probablement que trente ans et il avait déjà abandonné. Il était déjà abattu.
Voici une autre pierre tombale. « Ci-gît Thomas. Il aurait fait du super travail, mais son patron ne le laissait pas faire. »